À l’issue de cette mission, l’UQTR revient avec des opportunités annonçant des retombées intéressantes sur les plans de la formation et de la recherche. En plus du recrutement d’étudiants au doctorat, mentionnons un nouvel accord de coopération avec l’Universidad CES de Medellin, la signature d’un addenda visant à élargir les domaines de mobilité étudiante avec l’Universidad militar Nueva Granada de Bogotá et la création de réseaux de recherche dans les domaines de l’éducation, de la santé et, éventuellement, des énergies renouvelables.
Durant la mission, les chercheurs québécois ont été mis en relation avec 120 chercheurs issus de 18 universités colombiennes dans le but d’établir des collaborations d’enseignement et de recherche. Les rencontres se sont déroulées selon le modèle d’échanges bilatéraux, ce qui a permis aux universités de se présenter, de faire valoir leurs forces en recherche, d’approfondir certains rapprochements existants et de faire état de leurs nouveaux champs de recherche. Comme le précise Sébastien Charles, vice-recteur à la recherche et au développement de l’UQTR, « il s’agit d’une méthode éprouvée dont nous pourrons nous inspirer dans le cadre d’autres missions internationales. Elle permet de bien cibler les universités partenaires ».
Le COLUQ (Colombie – UQ) a été rendu possible grâce à une collaboration entre l’Université du Québec, le ministère des Relations internationales et de la Francophonie, son partenaire organisationnel principal en Colombie ICETEX, ainsi que l’Universidad del Rosario et la Pontificia Universidad Javeriana.
Pour plus d’informations, veuillez consulter le communiqué de l’Université du Québec.


