La citation est la suivante :
« Selon un récent rapport de recherche1, entre 2017 et 2022, plus de 6 700 propriétaires de PME au Québec auraient l’intention de céder leur entreprise annuellement. »
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« Les gains en capital réalisés par ces intentions de transferts de PME pourraient atteindre jusqu’à 15,7 milliards de dollars sur une période de cinq ans. »
« Il est intéressant de constater que nos travaux de recherche sont utilisés pour influencer des politiques publiques, permettant un assouplissement des règles fiscales relativement au transfert d’entreprises familiales et l’admissibilité à la déduction du gain en capital », a indiqué Marc Duhamel, chercheur régulier à l’INRPME et professeur agrégé au Département de finance et économique de l’École de gestion de l’UQTR.
Cette étude a été réalisée par les membres de l’équipe de recherche INRPME formée de Louise Cadieux, Département de management UQTR, Marc Duhamel, Département de finance et économique UQTR et François Brouard, de la Sprott School of Business de l’Université Carleton. Leurs résultats ont été publiés par le Centre de transfert d’entreprise du Québec en décembre 2020.
« Le projet nous a permis, à Louise Cadieux et moi, de pousser encore plus loin notre collaboration de recherche sur le repreneuriat qui s’était amorcée, alors que nous n’étions que des jeunes diplômés du programme DBA de l’UQTR, et qui a mené à la publication de notre livre La transmission des PME : perspectives et enjeux en 2009. Un ouvrage qui suscite encore un intérêt important dans le milieu des transferts d’entreprises », indique le professeur François Brouard, qui est également chercheur à l’INRPME.
1 DUHAMEL, M., F. BROUARD et L. CADIEUX, L’influence des facteurs fiscaux sur les intentions de transferts de PME québécoises et canadiennes, [Rapport de recherche], Université du Québec à Trois-Rivières et Institut de recherche sur les PME, 2020, 30 p.
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