Leader mondial de l’innovation verte dans le secteur du transport sur rail, l’entreprise Alstom a annoncé récemment la création d’un nouveau centre d’innovation visant le développement de futures plateformes à propulsion hybride, à batterie ou à l’hydrogène, à faible ou zéro émission. Pour mener à bien ses activités, ce nouveau centre – basé près de Montréal – travaillera notamment en collaboration avec l’Institut de recherche sur l’hydrogène (IRH) de l’UQTR.
Les ingénieurs d’Alstom qui œuvreront au sein du centre d’innovation feront appel à l’expertise de l’IRH tout particulièrement en ce qui concerne les conditions de succès de l’écosystème de ravitaillement et d’opération de la propulsion à l’hydrogène.
Parmi les chercheurs de l’UQTR impliqués dans ce projet de partenariat avec Alstom, mentionnons les professeurs Bruno G. Pollet et Simon Barnabé du Département de chimie, biochimie et physique, ainsi que les professeurs Loïc Boulon et Kodjo Agbossou du Département de génie électrique et génie informatique.
Notons que le réseau ferré du Canada et des États-Unis est à peine à 1 % électrifié. Plus de 27 000 locomotives au diesel l’empruntent tous les jours, ce qui pèse lourd sur le bilan carbone. Le nouveau centre d’innovation d’Alstom permettra de développer des technologies de propulsion électrique éprouvées, spécifiquement adaptées au marché nord-américain du transport sur rail des biens et des personnes.
À propos d’Alstom
Ouvrant la voie de la transition énergétique, Alstom développe et commercialise des solutions de mobilité qui constituent des fondations durables pour l’avenir du transport. Qu’il s’agisse des trains à grande vitesse, des métros, des monorails, des trams, des systèmes intégrés, des services sur mesure, de l’infrastructure, des solutions de signalisation ou de mobilité numérique, Alstom offre à ses divers clients le portefeuille le plus complet du secteur. Basé en France, Alstom est présent dans 70 pays et emploie plus de 74 000 personnes dans le monde.