Les sommets du G7 reposent sur la participation active de tous les délégués aux travaux programmés. Dans le cas présent, une centaine d’experts de tous les coins du Canada, qui jouent des rôles de premier plan dans divers secteurs liés à la recherche et aux politiques publiques, ont été invités à aider à établir les prochaines étapes à suivre en matière de recherche, d’intervention et de politiques publiques liées au vieillissement en santé.
Marie-Michèle Lord, professeure au Département d’ergothérapie de l’Université du Québec à Trois-Rivières (UQTR), était présente parmi la délégation québécoise, comptant notamment Carole Jabet, directrice scientifique des Fonds de recherche du Québec – Santé (FRQS), Pierrette Gaudreau, présidente sortante du Regroupement québécois de recherche sur le vieillissement (RQVD), et Véronique Provencher, directrice du Centre de recherche sur le vieillissement. La professeure Lord indique qu’« il est vraiment inspirant de voir comment les travaux de recherche menés au Québec sont porteurs et à l’avant-garde des grands défis abordés lors des discussions menées au sommet ». Elle mentionne aussi que la vision de l’UQTR, qui souligne l’importance de l’intersectorialité et de la proximité avec les communautés pour aborder les enjeux du vieillissement, la positionne de manière extrêmement favorable dans le contexte canadien et mondial actuel.
Le projet « Vers un meilleur portrait de la santé globale des personnes aînées isolées du nord de Lanaudière » est porté par une équipe interdisciplinaire de 10 chercheurs de l’Université du Québec à Trois-Rivières (UQTR) sous la direction de Marie-Michèle Lord.



