« Avant d’arriver ici, j’ai étudié pendant un an dans un grand centre urbain, et j’ai réalisé que je n’aimais pas ça du tout. Au préalable, j’avais fait ma technique à Saint-Jérôme, et je me suis rendu compte que la collaboration avec les professeurs, ça n’avait pas de prix. J’ai donc fait le choix de poursuivre mes études à l’UQTR », explique Marc-André.
« Sur le campus, je vis cette proximité tous les jours. Les professeurs me connaissent, ils m’appellent par mon nom et me saluent dans les corridors. C’est quelque chose que je ne vendrais pour rien au monde », ajoute-t-il.
Marc-André a représenté l’UQTR lors de la compétition RoboSub, qui s’est tenue à San Diego, aux États-Unis, en juillet 2019.
De toute évidence, Marc-André ne semble pas regretter son choix. À l’aube de sa dernière année à l’École d’ingénierie, il a d’ailleurs pu profiter de toutes les opportunités que l’UQTR avait à lui offrir.
« La communauté étudiante à Trois-Rivières est assez trippante. On peut rejoindre plusieurs clubs étudiants, et même si leurs activités sont parfois liées à l’école, on le fait en groupe pour le plaisir. Il nous arrive même d’avoir la chance de représenter l’UQTR lors de compétitions interuniversitaires ! Sinon, c’est toujours agréable d’aller prendre un verre au bistro étudiant sur le campus », lance-t-il.
C’est donc fort d’une expérience riche et diversifiée que Marc-André peut entrevoir sa vie professionnelle.
« Je veux essayer de trouver un emploi qui me ressemble. Je m’intéresse particulièrement à tout ce qui est programmation embarquée, alors je pense amorcer ma carrière dans cette branche. Mon parcours universitaire me sera sans doute très utile pour atteindre cet objectif et assurer mon avenir », indique-t-il.
« Je suis quelqu’un d’assez impliqué à l’école, ce qui m’a aidé à développer mon sens de l’organisation. D’ailleurs, je pense que le dévouement est l’une des choses les plus importantes en ingénierie, parce que le rôle d’ingénieur vient avec la responsabilité d’empêcher qu’il y ait du danger pour la population. Ce n’est pas à prendre à la légère », conclut Marc-André.
