Grâce au soutien du programme Pont scientifique Palestine-Québec (PQSB), cette initiative a été gérée conjointement par les Fonds de recherche du Québec (FRQ) et l’Académie palestinienne des sciences et de la technologie (PALAST).
Le Dr Khalilia a essentiellement collaboré avec le professeur Frank Crispino et ses collègues en science forensique sur : « L’interprétation forensique des traces biologiques : vers un nouveau modèle en Palestine ». Bénéficiant des structures analytiques du laboratoire TRACE et de l’expertise du professeur Emmanuel Milot, le but de cette étude est d’établir un modèle d’interprétation commun à tous les domaines de la science forensique, qui devrait être adopté par les laboratoires palestiniens.
Durant son séjour, deux publications ont été soumises, dont une traduction en arabe en collaboration avec l’Afrique du Sud et le Rwanda de la Déclaration de Sydney, dont le professeur Crispino est l’un des initiateurs, proposant une redéfinition de cette discipline et les principes fondamentaux la gouvernant. L’impact de ces publications se répercutera en Palestine, mais aussi dans toutes les sociétés arabes.
Le Bureau des relations internationales de l’UQTR (BRI) a exprimé l’intérêt de notre Université à soutenir le développement de l’enseignement et de la recherche en sciences de la sécurité, et plus particulièrement en science forensique, de l’université Al-Istiqlal.
Pour en savoir plus sur le programme de collaboration Palestine-Québec : https://www.palast.ps/en/what-we-do/science-bridges/pqsb
Le Dr Walid Khalilia au travail.
