Après quelques semaines durant lesquelles les activités sur le campus de l’Université du Québec à Trois-Rivières (UQTR) furent restreintes à leur minimum afin de respecter les directives de santé publique, il est maintenant temps de passer à l’étape du déconfinement graduel. Parmi les personnes autorisées à se présenter sur le campus, des chercheuses dont la présence est essentielle pour le fonctionnement de certains laboratoires : c’est le cas de Manel Ghribi.
Cette jeune chercheuse postdoctorale en biologie cellulaire et moléculaire nous parle ici de ses travaux, de l’impact du confinement et de l’importance de se retrouver à nouveau au laboratoire. Elle aborde aussi les mesures mises en place par l’UQTR pour assurer la sécurité des personnes qui doivent se rendre sur le campus pour mener leurs projets de recherche.
Images et montage : Éric Girouard, Service des technologies de l’information, UQTR