La vingtaine de participants issus de 11 pays différents a donc mis sur pied la start-up » SOLITECH qui arborera les défis de la précarité énergétique des pays en voie de développement. Un second projet de services-conseils, SMG Conception, travaillera sur l’autoconsommation énergétique des ilots urbains dans divers pays de l’Europe. Finalement, la « spin-off » B2H énergie (développement de la filière hydrogène à partir de biomasse résiduelle) et la boîte de consultants OpREx énergie (efficience énergétique des parcs industriels européens) sont nées des 10 jours de cette école internationale d’été.
Trois intervenants de l’UQTR ont partagé leurs connaissances et expériences en entrepreneuriat et énergie renouvelable (Simon Barnabé, professeur au Dép. de chimie, biochimie et physique; Chanie Perrault, coordonnatrice du Carrefour d’entrepreneuriat et d’innovation; Andrew D’Amours, cofondateur de Flytrippers et collaborateur important dans les Start-ups Weekend de l’UQTR). De plus, quatre étudiants gradués de l’École de gestion (Dominique Biron, Mawunyo Loho) et de l’Institut de Recherche sur l’Hydrogène (Marc-Antoine Pagé, William Devia) de l’UQTR ont eu la chance de participer à cette école et de jouer un rôle important dans le développement des projets d’entreprise. La mobilité des étudiants et des intervenants de l’UQTR a été possible grâce au soutien financier du Bureau de l’international et du recrutement de l’UQTR, des Offices jeunes internationaux du Québec (LOJIQ) et du programme européen de mobilité Erasmus.
C’est sous un tout autre climat que se tiendra la prochaine édition de l’école d’été, alors que les participants ont rendez-vous en août 2019 au Sénégal grâce à la collaboration de l’Université Gaston Berger, de l’École Supérieure Polytechnique de Dakar et 2iE.
