Il semble que pour certaines personnes, le fait de rester au repos apporterait une cristallisation des symptômes (intolérance au bruit et à la lumière, réflexes plus lents, difficulté de concentration, etc.). « C’est avec ces personnes que nous travaillons. Le traitement par l’activité physique met en place un processus physiologique contribuant, entre autres, à l’oxygénation du cerveau, mais aussi, sur le plan personnel, génère des effets positifs sur l’humeur de la personne », précise le professeur Fait. Évidemment, on ne parle pas ici de pratiquer des activités physiques vigoureuses, mais plutôt de faire de l’exercice, comme du vélo...






