Comprendre, améliorer, favoriser la pratique de l’activité physique

Pour y arriver, la tendance est d’intervenir en amont sur les comportements individuels, en misant sur la promotion de la santé et la prévention. Il ne faut donc pas se surprendre que l’incitation à pratiquer de l’activité physique et à adopter de saines habitudes de vie transcende le discours social : politiques publiques, médias, publicités, fondations privées, organismes professionnels et associations communautaires stimulent les citoyens, toutes catégories confondues, à travailler sur leur santé globale.

Mais entre l’intention et l’action se profilent aussi des enjeux et des défis pour créer un environnement favorable à l’adoption et au maintien d’un mode de vie physiquement actif : il faut aménager des infrastructures de proximité, penser des stratégies pour favoriser la pratique de l’activité physique et les saines habitudes de vie, permettre à toute personne d’être active peu importe sa condition ou sa situation socioéconomique, par exemple.

À l’UQTR, plusieurs chercheurs s’intéressent au sport, à l’activité physique et aux saines habitudes de vie sous différents angles. Dans le cadre du dossier qui vous est présenté ici, NÉO UQTR est allée à la rencontre de quelques-uns d’entre eux, afin de récolter diverses perspectives provenant de disciplines aussi variées que l’histoire, la chiropratique sportive, la psychologie, les sciences de l’activité physique et les études en loisir, culture et tourisme. Leur objectif commun : comprendre, améliorer et favoriser la pratique de l’activité physique et les saines habitudes de vie pour l’ensemble de la population.