Nouvellement située dans Lanaudière, la Zone Agtech regroupera de nouvelles technologies de culture et d’agriculture qui permettra de structurer et propulser l’agriculture de demain : une agriculture plus performante, plus rentable et plus verte, qui offre des solutions concrètes d’adaptation aux changements climatiques et de sécurité alimentaire.
Plus précisément, ce sera par des services-conseils et de maillage personnalisé, du soutien, de la formation, ainsi que par des consortiums et partenariats de recherche que les collaborateurs pourront évoluer.
Leur mission : regrouper, accélérer et faire rayonner les entreprises québécoises en Agtech et bioproduits végétaux.
Son expérience en la matière et ses implications dans la communauté lanaudoise ont valu à Simon Barnabé, professeur au Département de chimie, biochimie et physique de l’Université du Québec à Trois-Rivières (UQTR), d’être rapidement sollicité par cette organisation. Étant également chercheur à l’Institut d’innovations en écomatériaux, écoproduits et écoénergies à base de biomasse (I2E3) de l’UQTR, M. Barnabé apportera sans aucun doute une expertise pertinente dans le domaine. Celui-ci mentionne également que « cette zone est très importante pour l’UQTR, puisqu’elle permet de se rapprocher de la MRC de l’Assomption et donne un sens aux recherches de nos étudiants ».
Être membre de la Zone Agtech permettra à l’UQTR et à ses unités de recherche de prendre davantage part au déploiement de technologies et produits pour le milieu agricole et l’agriculture urbaine et, ainsi, accroître sa collaboration avec le milieu.
Cette initiative sera assurément gagnante pour la région comptant plus de 2 000 productrices et producteurs agricoles, ce qui représente une appropriation de près de 90 % du territoire agricole dans la ville de l’Assomption.
Déjà, la zone AGTECH démontre son savoir-faire en s’adaptant à la situation qui prévaut et en créant le groupe privé Mastermind Agtech. Ce groupe d’entraide permettra à sa communauté agricole d’échanger pour briser l’isolement et développer des pistes de solution en lien avec le Covid-19.