La thèse défendue s’attaque à cette idée trop générale en défendant que les pratiques de loisirs ne sont pas toutes homogènes. Elle soutient que le potentiel de sociabilité relatif à la pratique d’un loisir dépend des caractéristiques de cette pratique dans au moins cinq dimensions : la nature de l’activité, les modalités de pratique, les structures locales de pratique, les motivations des pratiquants et la culture des groupes de pratiquants. La configuration des caractéristiques de la pratique d’un loisir dans ces dimensions influence sa capacité à matérialiser des facteurs d’attraction et des espaces propices aux interactions...



















