La démarche d’Ariane s’inscrit d’abord dans un cheminement personnel initié par une réflexion sur ses origines. Issue de Wolastoqiyik Wahsipekuk, une nation autochtone dont le berceau québécois se trouve dans la région de Cacouna, la jeune femme constate un certain manque de cohésion, une perte de repères culturels et de la langue maternelle du fait que les membres sont dispersés un peu partout sur le territoire, sans connexion réelle avec leur passé. « La nation Wolastoqiyik Wahsipekuk du Québec rencontre vraiment un enjeu de conservation culturelle, de reconnexion avec ses racines. Alors une de mes motivations en créant l’Association des...
























