Florence Piché, étudiante au baccalauréat en kinésiologie à l’Université du Québec à Trois-Rivières (UQTR), s’intéresse aux croyances associées à la pratique régulière de l’activité physique pendant la grossesse. Ce projet de recherche est sous la direction de la professeure Stephanie-May Ruchat, du Département des sciences de l’activité physique, en collaboration avec les professeurs François Boudreau, du Département des sciences infirmières, et Paule Miquelon, du Département de psychologie, ainsi qu’avec la docteure Véronique Babineau, gynécologue et obstétricienne au Département de gynécologie et obstétrique du Centre intégré universitaire de santé et de services sociaux de la Maurice-et-du-Centre du Québec (CIUSSS-MCQ).
La pratique de l’activité physique prénatale est associée à de nombreux bénéfices pour la santé de la mère et de son futur enfant. Pourtant, plusieurs études démontrent que la majorité des femmes enceintes sont inactives. Pour encourager la pratique de l’activité physique chez ces femmes, il est indispensable de mieux comprendre les raisons de leur inactivité. Il existe plusieurs théories qui permettent de mieux comprendre l’adoption (ou la non-adoption) d’un comportement tel que l’activité physique, dont la théorie du comportement planifié (TCP) qui est utilisée pour cette étude.
Bien que cette théorie ait déjà été utilisée pour mieux comprendre la pratique de l’activité physique chez les femmes enceintes, elle ne l’a jamais été spécifiquement chez les femmes ayant dû faire appel à des traitements de fertilité pour devenir enceinte. L’historique reproductif, tout comme le stade de la grossesse, pourraient en effet influencer les facteurs motivationnels associés à la pratique de l’activité physique.
L’objectif de l’étude vise donc à mieux comprendre les croyances reliées à la pratique régulière de l’activité physique chez les femmes enceintes et comparer les croyances au fil des trimestres de grossesse ainsi qu’entre les femmes enceintes naturellement et celles enceintes suite à des traitements de fertilité.
Qui recrute-t-on ?
Nous recrutons des femmes enceintes de 18 ans et plus, enceintes par conception naturelle (CN) ou suite à des traitements de fertilité (TF) et qui sont dans leur 1er, 2e ou 3e trimestre de grossesse.
Quelle est votre implication ?
Votre participation implique de remplir un questionnaire. Remplir le questionnaire vous prendra 10 minutes.
Votre participation est précieuse et nous permettra de faire avancer les connaissances scientifiques dans le domaine de la compréhension des croyances reliées à la pratique de l’AP chez les femmes enceintes.
Vous êtes intéressée à participer ? Vous souhaitez plus d’informations ? Consultez la page Étude sur les croyances associées à la pratique régulière de l’activité physique auprès des femmes enceintes.
Vous pouvez aussi communiquer avec l’une ou l’autre de ces personnes :
Florence Piché: florence.piche@uqtr.ca
Stephanie-May Ruchat: stephanie-may.ruchat@uqtr.ca
Ce projet a été approuvé par le comité d’éthique de la recherche médicale du CIUSSS MCQ (CÉRM-2018-001-00, émise le 15 juin 2018) et le comité d’éthique de la recherche avec des êtres humains de l’Université du Québec à Trois-Rivières (CÉR 18-248-10.02, émis le 18 juin 2018).