En ce contexte festif du 50e anniversaire de l’UQTR, l’institution annonce un partenariat avec la microbrasserie le Temps d’une Pinte, afin que soient brassées et vendues des bières à l’effigie de l’Université.
Et c’est justement pour souligner l’anniversaire de l’UQTR que la première bière de cette cuvée, La Buissonnière, est officiellement lancée. Disponible à la microbrasserie du centre-ville, cette boisson de type Session IPA à 3,3 % d’alcool est disponible en fût ou en cannette. Si la bière a été entièrement brassée par les artisans du Temps d’une Pinte, le nom et l’image visuelle de La Buissonnière sont le fruit du travail de deux diplômés de l’UQTR, soit Romane Dumas-Kemp et Lucas Blais-Gamache (Département de philosophie et des arts).
« Les célébrations du 50e anniversaire nous offraient une opportunité parfaite de développer un partenariat entre l’UQTR et notre microbrasserie. Nous sommes très fiers de cette association qui nous permet de faire rayonner l’Université et de démontrer tout son dynamisme et son originalité à travers ce projet qui n’a rien de conventionnel », explique Alex Dorval, cofondateur du Temps d’une Pinte.
Bourses et projets pour les étudiants
Grâce à une entente entre la microbrasserie, la Fondation de l’UQTR et le Carrefour d’entrepreneuriat innovation Desjardins de l’UQTR (CEI-Desjardins), 10 % des montants générés par la vente de cette bière seront remis sous forme de bourses pour soutenir des projets d’étudiants entrepreneurs.
L’entente, qui est d’une durée de deux ans, prévoit d’ailleurs qu’une nouvelle bière sera brassée et mise en marché à chaque début de session universitaire. Les étudiants seront appelés à soumettre des projets par le Carrefour d’entrepreneuriat innovation Desjardins afin de participer à toutes les étapes de la réalisation d’une bière.
« On pourrait avoir des étudiants en chimie qui développeraient une nouvelle bière dans les cuves du Temps d’une Pinte et cette bière pourrait être mise en marché par des étudiants en marketing ou en communication. Les opportunités de maillage et d’applications concrètes des connaissances acquises dans les cours sont nombreuses. Je suis convaincue que nous recevrons beaucoup de propositions toutes aussi originales les unes que les autres », souligne Chanie Perreault, coordonnatrice au CEI-Desjardins.